Alban Allegro
Françoise Allet
Jeannette Antille
Suzanne Auber
Christine Aymon
Matthieu Barbezat
Eliane Beytrison
Albain Blanchet
Daniel Bollin
Michel Bonvin
François Boson
Antonie Burger
Anic Cardi
Françoise Carruzzo
Vincent Chablais
Albert Chavaz
Charles Colombara
Jean-Pierre Coutaz
Gérard de Palézieux
Simone de Quay
Marilou Délèze
Angel Duarte
Bernadette Duchoud
Yvone Duruz
Géraldine Es-Borrat
Marie Escher-Lude
Jean-Blaise Evequoz
Denise Eyer-Oggier
Janine Faisant-Devayes
Edouard Farronato
Michel Favre
Marie Gailland
Jacques Glassey
Marie-Antoinette Gorret
Gianni Grosso
Agnès Guhl
Simone Guhl-Bonvin
Danielle Landry
Julie Langenegger Lachance
Luc Lathion
Christiane Lovay
Pierre Loye
Dominique Lugon
Myriam Machi
Pierre-Alain Mauron
Charles Menge
Paul Messerli
Jean-Claude Morend
Raphaël Moulin
Christine Mühlberger
René Niederberger
Anne-Chantal Pitteloud
François Pont
Laurent Possa
Mizette Putallaz
Jean-Jacques Putallaz
Oskar Rütsche
Olivier Saudan
Serge Saudan
Jean Scheurer
Lou Schmidt
Daniel Stucki
Dominique Studer
Isabelle Tabin-Darbellay
artiste test
Donatienne Theytaz
Jean-Lou Tinguely
Floriane Tissière
Gottfried Tritten
Paul Viaccoz
Samuel Voltolini
Philippe Wenger
Walter Willisch
Uli Wirz
Sabine Zaalene
Christiane Zufferey
Pierre Zufferey
Auber Suzanne
Née en 1932 à Martigny, Suzanne Auber s’est formée à l’Ecole des arts et métiers à Vevey. Elle travaille de 1953 à 1979 comme dessinatrice et décoratrice, notamment pour l’horloger Bulova. Le soir, elle peint : « Dans la peinture je commence à sortir tout ce que j’ai enfoui, enfoui », divisant sa vie entre activité diurne ou commerciale et nocturne ou régénératrice. En 1960, elle expose pour la première fois ses travaux à la Galerie Bernheim à Paris. En 1961, elle obtient le prix de la Ville de Paris puis, en 1972, la médaille d’argent de la Ville de Paris. A la fin des années 1960, elle se consacre exclusivement à la peinture, véritable dégorgement de son trop-plein de vie ou de mort : « besoin de s’extérioriser dans un coin silencieux et sans avoir besoin de parler ». Le lien essentiel entre le texte et l’image de ses œuvres établit la navette entre lecture et vision qui trouve son répondant au sein des œuvres mêmes, dans la dissociation entre les contours dessinés et les masses de couleurs découpées, entre les plus muets de la matière et les signes parlants de l’écriture. Elle vit et travaille entre Flanthey, Sévignac en Bretagne et Paris.