Alban Allegro
Françoise Allet
Jeannette Antille
Suzanne Auber
Christine Aymon
Matthieu Barbezat
Eliane Beytrison
Albain Blanchet
Daniel Bollin
Michel Bonvin
François Boson
Antonie Burger
Anic Cardi
Françoise Carruzzo
Vincent Chablais
Albert Chavaz
Charles Colombara
Jean-Pierre Coutaz
Gérard de Palézieux
Simone de Quay
Marilou Délèze
Angel Duarte
Bernadette Duchoud
Yvone Duruz
Géraldine Es-Borrat
Marie Escher-Lude
Jean-Blaise Evequoz
Denise Eyer-Oggier
Janine Faisant-Devayes
Edouard Farronato
Michel Favre
Marie Gailland
Jacques Glassey
Marie-Antoinette Gorret
Gianni Grosso
Agnès Guhl
Simone Guhl-Bonvin
Danielle Landry
Julie Langenegger Lachance
Luc Lathion
Christiane Lovay
Pierre Loye
Dominique Lugon
Myriam Machi
Pierre-Alain Mauron
Charles Menge
Paul Messerli
Jean-Claude Morend
Raphaël Moulin
Christine Mühlberger
René Niederberger
Anne-Chantal Pitteloud
François Pont
Laurent Possa
Mizette Putallaz
Jean-Jacques Putallaz
Oskar Rütsche
Olivier Saudan
Serge Saudan
Jean Scheurer
Lou Schmidt
Daniel Stucki
Dominique Studer
Isabelle Tabin-Darbellay
artiste test
Donatienne Theytaz
Jean-Lou Tinguely
Floriane Tissière
Gottfried Tritten
Paul Viaccoz
Samuel Voltolini
Philippe Wenger
Walter Willisch
Uli Wirz
Sabine Zaalene
Christiane Zufferey
Pierre Zufferey
Loye Pierre
Né en 1945 à la Crettaz/Haute-Nendaz, Pierre Loye fréquente de 1961 à 1965 l’Ecole cantonale des beaux-arts de Sion. Son diplôme obtenu, il expose pour la première fois à Sion. En 1966, il décide de ne signer ses tableaux qu’au dos et au-dessous de ses sculptures. En 1968, il obtient le prix de la ville de Sion. Par une technique minutieuse d’entrelacs de lignes courbes aux couleurs vives et d’effusion de filaments multicolores, Pierre Loye organise l’espace pictural en une structure réticulée abolissant les angles. L’œuvre n’est pourtant pas seulement un réseau de sinuosités redoublées mais, jouant avec le titre, chaque tableau pose les question fondamentales : la communication entre les humains et le sens de l’existence intégrant toutes les exigences de la vie dite moderne, ou le lien de l’homme à la nature, particulièrement à la montagne comme lieu de passage des vacanciers, pris dans un mouvement d’aller et retour que dénonce par antithèse l’effet d’immobilité ou de bidimensionnalité des tableaux eux-mêmes. Membre de la Visarte, il vit et travaille depuis 1976 au Trétien.